L’accident de Pierre Palmade a eu lieu, ce vendredi 10 février, vers 19h00, sur la D372 au niveau de Villiers-en-Bière, dans le sud de la Seine-et-Marne. Deux passagers qui se trouvaient dans son véhicule avaient pris la fuite après la collision. Un homme se présentant comme l’un d’eux a été interpellé cette nuit. Voici ce que l’on sait.
Pierre Palmade est au cœur d’une enquête pour « homicide involontaire » après un grave accident de la route survenu ce vendredi 10 février. Deux individus, qui se trouvaient dans sa voiture au moment du choc et qui ont pris la fuite, étaient depuis recherchés. Un individu se présentant comme l’un d’eux vient d’être arrêté dans la Somme, dans la nuit de ce lundi 13 février à ce mardi 14 février.
Les circonstances de l’arrestation
D’après une source proche de l’enquête, c’est l’homme lui-même qui a appelé la gendarmerie dans la nuit de ce lundi à ce mardi, en disant avoir été présent dans le véhicule lors de l’accident. Une patrouille de gendarmerie a ensuite été l’interpeller sur la voie publique où il se trouvait. Étant « alcoolisé » au moment de l’appel, ses déclarations restent « à confirmer ».
L’homme a été placé en garde à vue. Les enquêteurs doivent désormais confirmer sa présence sur les lieux du drame et retracer le parcours de sa fuite depuis l’accident.
Le profil du suspect
Si d’après les témoins du drame, les deux fuyards étaient « âgés d’une vingtaine d’années », de type européen pour l’un, africain pour l’autre, l’homme interpellé ce mardi a 47 ans.
Le deuxième passager bientôt arrêté ?
Invitée, ce lundi 13 février, sur BFMTV, Camille Chaize, porte-parole du ministère de l’Intérieur, a indiqué que la justice avait « beaucoup d’éléments de preuves » pour retrouver la piste des inconnus : « Je ne peux pas vous dire s’ils seront interpellés dans quelques heures, demain ou après-demain. » Elle n’a cependant pas confirmé qu’ils avaient été clairement identifiés. L’homme arrêté dans la Somme était-il dans le viseur du ministère ? Seule la suite de l’enquête pourra nous le dire. Ils risquent des poursuites notamment pour « non-assistance de personne en danger ».
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