Plusieurs points ont été abordés lors du dernier conseil municipal de Saint-Marcel, dans l’Eure, vendredi 16 décembre 2022.
Quatre sujets ont particulièrement marqué les échanges : éclairage du Cosec, subventions scolaires pour 2023, tarifs de la cuisine centrale pour 2023 et avenir du bâtiment Jules-Ferry 2.
Plus 2 % sur les prix de la cuisine centrale
La tarification de la cuisine centrale est revue tous les ans.
« Le sujet a été évoqué en commission finance et en commission des affaires scolaires. Cette année, nous proposons une augmentation de tarif de 2 % par rapport à ce qui était pratiqué l’année passée et d’arrondir les montants. »
À titre d’exemple, pour les enfants qui résident dans la commune et qui mangent à la cantine de l’école, le prix du repas passera de 3,37 euros à 3,45 euros à partir de janvier 2023, et de 3,42 à 3,50 euros pour les enfants qui bénéficient aussi de l’accueil périscolaire.
Le même pourcentage est appliqué pour les résidents de La Pommeraie, qui bénéficient également des repas préparés par la cuisine centrale : le repas du midi passe de 9,20 à 9,40 euros pour les résidents et celui du soir de 7,60 à 7,75 euros.
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Bientôt plus de lumière au Cosec ?
Le terrain de football va-t-il retrouver son éclairage ? C’est en tout cas ce que souhaite la municipalité. Une décision portant sur la passation d’un marché a été présentée « pour une détection de problème de court-circuit sur les luminaires du terrain de football ».
La société MMRESEAUX est donc chargée de rechercher la panne sur l’éclairage sur le terrain du Cosec pour un montant total de 5 180 euros HT.
Subventions scolaires pour 2023
Christelle Coudreau, adjointe au maire chargée des affaires scolaires, a présenté les chiffres qui composent les subventions scolaires pour l’année 2023. Du côté de l’école primaire Jules-Ferry, la municipalité versera 5 756 euros de subvention. Ce montant comprend, par exemple, la participation aux sorties scolaires à hauteur de 4 euros par élève, contre 2 euros les deux années précédentes.
« Le constat a été fait que le prix des entrées, que ce soit dans les musées ou les lieux historiques, a beaucoup augmenté. »
Mais aussi la participation aux projets de l’école (dévoreurs de livres en cycle 3 et intervention de l’association AINH qui sensibilise au handicap ou l’école au cinéma).
Pour l’école maternelle Maria-Montessori, la Ville versera 2 518 euros de subvention.
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Avec ce montant, elle s’engage à participer notamment aux sorties scolaires à hauteur de 5 euros par élève, contre 2 euros les deux dernières années et participera aux projets de l’école (cirque pour trois classes ou achat de matériel pédagogique).
Qu’en est-il du bâtiment fissuré à l’école ?
« Le devenir du bâtiment, je ne peux pas vous le dire à l’heure actuelle, mais il ne sera pas habité en janvier », a prévenu Hervé Podraza, le maire.
Après son passage vendredi 9 décembre, l’expert mandaté par la municipalité a émis des doutes concernant l’évolution de la situation et estime que le bâtiment, construit dans les années 1970, peut encore bouger.
« Une jauge de suivi a été mise en place pour voir si le bâtiment bouge ou pas. Sachant que l’on observe tout de même des fissures qui se prolongent sur l’ensemble de la hauteur du bâtiment. »
La municipalité s’est donc lancée dans la mise en place d’une étude architecturale plus poussée.
Une réunion était programmée pendant les vacances scolaires pour repenser l’aménagement et prendre en compte des propositions faites par l’Éducation nationale.
