[ad_1]

Le projet de rénovation de la gare du Tréport et Mers-les-Bains, entre la Seine-Maritime et la Somme, sort de plus en plus du brouillard.
En décembre 2018, la communauté de communes des Villes Sœurs a acté l’acquisition d’une partie des bâtiments voyageurs et du parvis, en copropriété avec la SNCF, qui disposera toujours d’un espace pour la vente de billets notamment.
La Communauté de Communes a ensuite engagé, en partenariat avec l’Établissement Public Foncier (EPF) de Normandie, une étude en vue de la réhabilitation du bâtiment et d’une partie du parvis.
Un chantier estimé à 4 millions d’euros
Les résultats de cette étude estiment le coût de cette opération à 4 692 000 € hors taxe, dont 3 450 000 € hors taxe pour les travaux par eux-mêmes.
Eddie Facque, président de la communauté de communes, précise : « Ce n’est que le coût prévisionnel, avec l’inflation actuelle, la facture pourrait augmenter ».
Il faut maintenant boucler le plan de financement, en allant à la pêche aux aides et subventions auprès de co-financeurs. « Notre objectif est de ne laisser que 20 % de cette somme à la charge de la communauté de communes ».
Un accueil touristique
L’objectif est de réhabiliter cet équipement, au cœur d’une riche zone touristique, pour y implanter des bureaux, des services et à l’extérieur différents types de transports.
Eddie Facque détaille : « À l’intérieur, nous avons prévu de créer les bureaux de notre service du tourisme, un bureau d’information touristique, et un centre d’interprétation de l’architecture et du patrimoine, après l’obtention de la labellisation de pays d’art et d’histoire que nous souhaitons ».
Les travaux sur les bâtiments seront importants, touchant différents corps de métiers : remplacement des menuiseries, ravalement de la façade, réhabilitation des lucarnes et du pignon, rénovation de la toiture et des gouttières, restructuration des espaces intérieurs, au rez-de-chaussée et dans les étages, dépollution…
Sur le parvis, la communauté de communes souhaite créer un pôle de mobilités, avec les équipements nécessaires à l’accueil des transports collectifs (lignes régulières de bus, transports à la demande). Il s’agit aussi d’en faire une étape attractive pour des modes de transport alternatifs comme le vélo.
La communauté de communes espère maintenant que les premiers coups de pioche pourront être donnés en 2024.
Cet article vous a été utile ? Sachez que vous pouvez suivre L’Informateur d’Eu dans l’espace Mon Actu . En un clic, après inscription, vous y retrouverez toute l’actualité de vos villes et marques favorites.
[ad_2]
Source link
Leave a comment