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Le collectif Chelles en colère se rassemble contre la réforme des retraites

Des membres de la CGT manifestent contre la réforme des retraites sur le parvis du Trocadéro, le 9 février 2023 à Paris.
Des membres de la CGT manifestent contre la réforme des retraites sur le parvis du Trocadéro, le 9 février 2023 à Paris. ©DR

Dans le cadre de la mobilisation contre la réforme des retraites le collectif Chelles en colère se rassemble à chaque mobilisation nationale. Jeudi 16 février 2023, à 10h, les membres du collectif se donnent rendez-vous, à Chelles, en Seine-et-Marne. « L’objectif étant de défendre nos revendications locales et nationales », explique l’une des membres Maryline Braz-Dantas. 

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Un regroupement d’enseignants et de parents d’élèves

Pour rappel, le collectif Chelles en colère a été créé en 2017 pour lutter contre les possibles fermetures de classes à Chelles. « Ce groupement de personnes compte des enseignants du premier et du second degré ainsi que des parents d’élèves », se souvient Maryline Braz-Dantas. Depuis sa création, le collectif se mobilise aussi contre la réforme des retraites. « Nous avons manifesté en 2018 et nous sommes de nouveau dans la rue en 2023« , poursuit  Maryline Braz-Dantas.

« Le gouvernement ne peut pas ignorer les mobilisations »

Elle ajoute : « En 2018, le mouvement national a porté ses fruits contre la réforme de la retraite à points. En 2023, nous ne lâchons pas l’affaire et je crois en ce combat. Le gouvernement ne peut pas ignorer les mobilisations des français contre cette réforme. »  

« Travailler jusqu’à la mort, c’est non ! »

Ce combat, elle le fait pour elle mais aussi pour ses enfants :  » Je ne veux pas donner deux ans de plus de ma vie aux plus riches du pays. Ces deux ans de plus n’assurent pas une retraite à 1200 euros et ils ne sont pas justes pour la grande majorité des français. Je me bats pour mes filles qui sont en train de suivre de longues études. Je veux qu’elles puissent avoir une retraite, je veux avoir la retraite que l’on m’a vendue lorsque j’ai commencé ma carrière dans l’enseignement public », s’insurge cette enseignante chelloise. Elle conclut : « Travailler jusqu’à la mort, c’est non !« 

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