
Le francombat est un art martial, mais s’il s’agit d’une manière de se défendre sans violence. La pratique née en 1988 du côté d’Alès arrive à Malestroit (Morbihan) par l’intermédiaire de Julien Landrin.
Il a ouvert, rue de Narvik, son école du vent. Pourquoi ce nom ? « Parce que les élèves apprennent surtout des techniques d’évitement pour devenir aussi insaisissables que le vent face à un adversaire. »
Pratiquer de manière détendue
La discipline s’adresse à tout le monde, autant aux hommes qu’aux femmes ou aux adolescents, à partir de 13 ans. C’est une pratique à destination des personnes qui souhaitent pratiquer un art martial doux, à celles qui souhaitent se détendre et pratiquer dans une ambiance très bienveillante, ou à d’autres qui voudraient prendre confiance en elles.
Et elle peut intéresser également certaines professions.
Nous avons un pompier qui s’est inscrit, parce qu’il lui arrive d’avoir besoin de se défendre lors de certaines interventions.
« Ce qui m’a le plus plu dans cette discipline, c’est la gentillesse des participants. Je me suis senti toujours extrêmement soutenu. Y compris dans la création du club de Malestroit », confie le responsable de la cinquième salle d’entrainement du Morbihan.
Âgé de 36 ans, Julien Landrin a surtout fait de la boxe et des arts martiaux. Il s’est intéressé au francombat quand il a ressenti le besoin de lever un peu le pied. Mais ça lui a tellement plu qu’il a choisi de se former à la discipline pour pouvoir l’enseigner.
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Pour l’instant, ce sont des initiateurs de Vannes et de Caden qui entrainent les adhérents, mais très bientôt ils lui cèderont sa place puisque sa formation touche à sa fin.
À noter qu’une fois la licence prise dans une salle Morbihannaise, il est possible de s’entrainer dans les quatre autres salles du département et qu’à tout moment, la salle de Malestroit accueillera les personnes ayant envie de faire une séance d’initiation.