Dix associations de défense de la cause animale à la barre du tribunal : voilà qui a surpris hier les observateurs. Les dossiers de violence routière ou de maltraitance, chez les majeurs comme chez les mineurs, rassemblent souvent moins de parties civiles. Cela interroge forcément sur le sort de notre humaine condition. Et sur le succès de la défense de la cause animale, que rien ne dément plus.Cela ne minore en rien, en tout cas, l'attention qu'il convenait de porter hier au petit Iboo, ce chiot de 3 mois, brûlé le 20 février dernier à Marseille jusqu'au troisième degré, jeté dans une poubelle et qui sera retrouvé avec un oeil crevé. L'animal avait toutefois survécu à ses blessures.Et aussi Maltraitance animale : feu vert quasi unanime de l'Assemblée à la propos
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