Pour Claude Derens, les violences conjugales ont été « largement expliquées, voire revendiquées, par Jhon Kerebel, pour qui, il est quasiment un exercice de style de tabasser la femme avec laquelle on vit, et que l’on est censé aimer ». Pour les faits criminels, l’avocat général a pointé « des faisceaux de présomption particulièrement défavorables ». Tout en rappelant la définition juridique du viol, le magistrat du parquet a rappelé : « la contrainte, la menace, la violence, c’est tout ce que l’on a entendu depuis lundi », avant de requérir une peine qui ne saurait être inférieure à 14 années de réclusion criminelle à l’encontre de Jhon Kerebel.