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Vache, alpagas, poules, moutons, chevaux, cochons, lapins, paon…. Justine Debrix est une passionnée d’animaux. Chez elle à Saint-James, elle possède 41 animaux et beaucoup d’espèces rares.
« J’aime tous les animaux atypiques. C’est mon plaisir plutôt que d’aller dans les magasins faire du shopping. ». Cette assistante en ressources humaines de 33 ans consacre une partie de son temps libre à sa passion. « Je suis passionnée par les animaux depuis toute petite, mais j’ai des parents qui ne voulaient pas d’animaux dans la maison. Dès l’âge de 21 ans, j’ai eu mon premier chien et après, j’ai pris deux autres chiens et quand j’ai emménagé dans une maison avec du terrain dans le Sud Manche, j’ai commencé à accueillir un peu plus d’animaux », explique Justine.
Des animaux rares
Justine a dans sa petite ferme des Balwen, des Moutons noirs, originaires du Pays de Galles. « C’est une race en voie de disparition ». Mais aussi une vache naine venant du Bénin, la Dahomey. « Il y en a 10 comme elle en France et 350 seulement en Europe » précise-t-elle.

Elle a également trois alpagas : « au début, j’en avais un seul, mais ils doivent vivre à plusieurs, j’en ai eu deux autres qui viennent d’un parc animalier. Le problème, c’est que les gens ne sont pas suffisamment informés. Ils trouvent ça joli et en veulent un sauf que c’est une erreur, ils ont besoin d’être au moins 3. »

L’avantage des alpagas, c’est qu’ils peuvent être utiles pour faire de l’éco pâturage, mais aussi leur laine peut être utilisée pour réaliser des pulls bien chauds pour l’hiver. Elle possède une poule rare en voie de disparition et locale : la Cotentine, une poule au plumage noir et aux reflets verts métallisés scarabée.
600 kg de céréales
Et pour nourrir tout ce monde, il faut de grandes quantités d’aliments : « J’ai acheté 600 kg de céréales brutes que nous allons moudre nous-mêmes grâce à notre moulin. C’est la première année que nous allons faire nos mélanges nous-mêmes, on va voir si ça suffit pour l’hiver ». En plus, il y a 200 kg de blé pour les quinze poules élevées en plein air. « On les a mises avec les cochons pour faire fuir les prédateurs » précise-t-elle.
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