
Dans un communiqué, Corentin Fargeaud, ex-adhérent Les Républicains et membre de la liste Vivre Ensemble à Maen Roch lors des dernières élections municipales, réagit à la publication dans nos colonnes de la lettre adressée par Thierry Benoit à Bruno Le Maire, ministre de l’Economie et des Finances.
« Il continue de voter la majorité des lois LREM »
C’est le monde à l’envers, comment oser dire à Bruno Le Maire de se secouer alors que Thierry Benoit est autant responsable de ce qui se passe aujourd’hui. Il ne faut pas oublier qu’il était député lors de mise en place du marché européen, de la fermeture de Feinseheim par Emmanuel Macron et Edouard Phillipe… Qu’a-t-il fait ?
Corentin Fargeaud prolonge : « Aujourd’hui, il continue de voter la majorité des lois LREM jusqu’au budget et il fait la courte échelle a l’implantation de LREM et Horizon sur notre territoire. Lors des dernières législatives, il a dit avoir été sollicité par le cabinet du président de la République lui-même et il a même été investi par le parti présidentiel ».
« Il n’exerce pas une grande influence au sein de l’Assemblée nationale »
Le militant énumère « les conséquences que l’on connaît de cette politique » : « L’urgence énergétique, l’inflation, la politique du chèque, l’augmentation de la dette a plus de 3000 milliards, aucune reconnaissance de ceux qui travaillent ».
Après avoir trahi la droite, ces conséquences validées par le député de la 6e circonscription prouvent qu’il n’exerce pas une grande influence au sein de l’Assemblée nationale. C’est pourquoi on ne peut plus accepter de vivre dans un territoire sans cap avec des personnes qui pratiquent la politique du doigt mouillé juste pour garder leurs postes et qui font semblant de s’indigner alors qu’ils soutiennent la politique d’Emmanuel Macron.
Et de conclure : « Ces élus trompent les électeurs en n’affichant pas clairement leurs convictions profondes. Il faut pouvoir rassembler ses électeurs « de droite » au-delà des partis et des fausses querelles inventés par la gauche. La politique du « en même temps », cette pensée unique, il faut y mettre un terme. Une autre dynamique est possible ancrée dans nos territoires pour faire rayonner la France ».